Cour pénale internationale, tribunaux internationaux, Cour internationale de Justice... petit tour des principales cours et juridictions internationales.
Affaire Pinochet, poursuite des génocidaires du Rwanda, jugement des criminels de guerre serbes et croates en ex-Yougoslavie... L’actualité de ces dernières années semble révéler que la "communauté internationale" se montre de moins en moins tolérante à l’égard des brutes de tous poils. On est certes encore loin d’une justice internationale qui ferait respecter le droit aux quatre coins de la planète en toute indépendance par rapport aux pouvoirs politiques. Il faut néanmoins reconnaître que des progrès ont été enregistrés et qu’un embryon de droit international semble bel et bien en route. Le point sur l’émergence de ce droit.
En décembre dernier, la reprise des pourparlers de paix entre Israël et la Syrie laissait présager la conclusion rapide d’un accord diplomatique. Aux dernières nouvelles, le rythme du réchauffement entre les deux plus fidèles ennemis du Moyen-Orient devrait s’avérer plus lent que prévu, mais avec plus de perspectives de réussite que dans le volet palestinien.
Le 26 mai 2004, une rébellion au Sud-Kivu (Est du Congo), dirigée par le major Mutebusi, fait planer sur le Congo le spectre d’une nouvelle guerre. Le major est appuyé par le général Nkunda du Rassemblement congolais pour la Démocratie - RCD. Cette rébellion est vite baptisée « la troisième guerre du Congo ». Le Rwanda est dès le départ montré du doigt. Rappel des événements et explication des enjeux.
Ancien journaliste au "Soir" et actuel directeur européen de l'information dans une organisation de défense des droits de l'homme, Jean-Paul Marthoz vient de publier un ouvrage consacré au rôle des médias en politique internationale. Il livre à "Démocratie" son analyse de l'image de misère souvent véhiculée par la presse lorsqu'elle parle du Sud.
En gagnant haut la main la présidence du Conseil, le travailliste Barak n’en a pas moins obtenu une victoire à la Pyrrhus. La société israélienne est profondément divisée, les travaillistes ne sont plus qu’un petit parti parmi d’autres et la gestion d’Israël risque d’être chaotique, à l’image de la formation du nouveau gouvernement.
Le 18e congrès du parti communiste chinois (PCC) s’est clôturé le 14 novembre dernier à Pékin. Il fut certes largement médiatisé par la presse occidentale, mais peut-être pas à la hauteur de l’importance de l’événement. Ce congrès pourrait être plus déterminant pour l’avenir proche du monde que les dernières élections américaines. La Chine semble en effet en route pour devenir le « premier dirigeant » de l’économie mondiale. Explications et décryptage en coulisse d’un congrès historique.